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L’église paroissiale Saint Jean l’Evangéliste

Jean, l’un des douze apôtres, l’Évangéliste, le préféré du Christ, Saint Jean le Bien aimé, est le patron de la commune de San Giovanni (San Ghjuvanni).

L’église paroissiale et le clocher (39 m) sont situés approximativement au centre de la commune.

À l’intérieur, plusieurs meubles et objets classés, dont le meuble de la sacristie, la chaire à prêcher, le retable et le tableau de l’Annonciation, entièrement rénovés par la municipalité avec le concours et les conseils des Monuments Historiques et de la Collectivité territoriale de Corse.

On peut aussi découvrir la chapelle de la remise du Rosaire, tableau figurant Marie et l’enfant remettant le rosaire à Saint Dominique et à Sainte Catherine de Sienne entre les quinze prédelles décrivant les habituels mystères.

La chapelle suivante est celle de la Nativité, l’autel est surmonté d’un tableau avec Marie, Joseph, l’enfant, l’âne et le bœuf.

En face, la chapelle des âmes du Purgatoire dont le tableau représente précisément les âmes souffrant dans les flammes. L’une d’elle est sauvée par un ange désignant de l’index la cause du Salut : Le Fils accompagné du Père et du Saint-Esprit. À gauche et à droite, Marie montrant son cœur et Jean l’Evangéliste. L’Autel Majeur, magnifique, ferme l’entrée de l’abside. Deux paires de colonnes torses projettent vers le haut un fronton dans lequel vole la colombe de l’Esprit-Saint. Les colonnes sont prolongées par deux anges et deux paires de volutes s’enroulant comme des vagues pour donner naissance à une troisième paire qui soulève un médaillon à la colombe.

Derrière, à environ 3,50 mètres, un tableau représentant la Vierge à l’enfant, près de laquelle se tient une sainte, Jean et son éternel calice, Michel pesant les âmes, Roch et son bâton et l’évêque Mamiliano à qui est dédiée l’église romane de la piève.

La fête paroissiale de Saint-Jean l’évangéliste est célébrée le 27.

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Plan de l’intérieur

Construction : Deuxième moitié du 17e siècle, début du classement 8 juin 1943

Légende

1 – Confessionnaux*
2 – Chapelle du Rosaire** et sa toile Rosaire à Saint Dominique, 18e siècle
3 – Statue de Saint Roch
4 – Chapelle des âmes au purgatoire*
5 – Saint Roch
6 – Toile** Sainte Agathe aux pieds de la Vierge, 18e siècle,
cadeau de l’Impératrice Eugénie à la Comtesse Cervoni, originaire de San Giovanni di Moriani
7 – L’autel majeur
8 – Toile : « Scène du jugement dernier », 1683
9 – Meuble de la sacristie, 1725, en bois de châtaignier, noyer, buis et pommier 10 – Clocher : 40 m de hauteur
11 – Chapelle de la nativité*
12 – Fresque représentant Saint Antoine
13 – Statue de Saint Jean l’Evangéliste
14 – Chaire à prêcher, 18e siècle**
15 – Chapelle de l’Annonciation et sa toile du 17e siècle**
16 – Baptistère

*Inscrit à l’inventaire des monuments historiques
**Classé monument historique

>>> Télécharger le plan

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Les chapelles

Chaque hameau possède sa propre chapelle.

Ainsi à Tribbiolu, la chapelle de l’Annonciation, de style baroque, est une des plus belles de la commune. On y célèbre la messe le 25 mars. Elle est située dans le hameau et ouverte tous les jours.

La chapelle de Sainte Marie à Cioti est également dédiée à la Vierge. Protégée par une belle place fermée, elle est légèrement détachée du hameau. La messe y est célébrée le 15 août après-midi.

La chapelle de Saint Laurent à Serrale (messe le 10 août), abrite également Sainte Anne (messe le 26 juillet).

La chapelle de Sainte Dévote à Serra entièrement restaurée mais longtemps en ruine, on a perdu l’habitude d’y célébrer la messe.

La chapelle de Saint Roch est située au dessus du hameau de Reghjetu. La messe y est célébrée le 16 août. Cette fête était jadis une des plus importantes de la pieve. Elle donne lieu à deux processions :
– L’une le matin à 10 heures, quand les fidèles portent le saint de l’église paroissiale à la chapelle où est célébrée la messe à 11 heures.
– L’autre, l’après-midi à 17 heures, au cours de laquelle on ramène le Saint dans la grande église.

La plus caractéristique et certainement la plus belle, la chapelle de Notre Dame des Sept Douleurs à Casone. On peut y admirer les fresques de son magnifique autel et le tableau de la Vierge transpercée par les sept épées figurant les douleurs de Marie lors de la crucifixion de Jésus. Dans cette chapelle est enterrée la comtesse Cervoni, épouse du célèbre général corse. On dit que la comtesse communiquait avec Napoléon lors de son exil à l’île d’Elbe en lui faisant parvenir des messages cachés dans des huîtres dont l’Empereur était parait-il, très friand.

La veille des fêtes de Saint Laurent, Sainte Marie et Saint Roch, les habitants des hameaux se réunissent encore autour d’un feu de joie, le « fugheracciu » (quand le temps le permet!).

La chapelle des pénitents du XVIIème ou XVIIIème siècle est située en face de l’église paroissiale, elle porte le nom de « Sainte-Croix« . Elle est à nef unique et le magnifique retable du maître-autel est classé « monument historique ».

Dans cette chapelle, se réunissait jadis la Confrérie, sorte de société de secours mutuel au sein de l’église mais indépendante du Clergé, elle procédait à l’enterrement des morts, participait aux processions et aux diverses manifestations religieuses…

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La chapelle de San Mamilianu

La commune possède sur un piton rocheux dominant la piève de Moriani et à trente minutes de marche, une chapelle romane qui peut avoir été bâtie en 936 dédiée à San Mamilianu.

La chapelle comporte une nef unique de 8 mètres de longueur sur 4,50 mètres de largeur et se termine à l’est par une abside semi-circulaire. Elle est couverte d’une charpente en bois de châtaignier et d’une toiture en pierres du pays (teghje).

La porte occidentale surmontée d’un arc dont les claveaux soigneusement appareillés et l’archivolte supérieure de la meurtrière de l’abside taillée en arc brisé aigu dans la pierre sont des détails assez rares et du plus bel effet.

A l’intérieur, au dessus du maître autel, se trouve un petit tableau sur toile représentant San Mamilianu en costume d’évêque qui écrase la gueule du démon avec sa crosse.

Nous savons par un acte datant de 1681 que, lors de la fête du 15 septembre, chaque pèlerin devait apporter sa « fogaccia » ou au moins un demi-bacino de blé. Selon la visite de Monseigneur Marliani en 1646, on y disait la messe le jour des Rogations. L’évêque ajoutait que San Mamilianu « anticamente era parocchia ».

Il y a quelques années de vieilles femmes observaient encore une tradition autrefois suivie par tous les habitants de la pieve de Moriani, elles se rendaient à pied à l’oratoire de San Mamilianu la veille de la fête et allumaient un grand feu à coté de l’abside, signal auquel les villages d’alentour répondaient par d’autres feux. Le feu devait aussi au même moment être allumé à l’île d’Elbe, où existe une chapelle dédiée au même saint et à l’île de Monte Cristo, où était située l’abbaye qui avait fondé toutes ces églises. Ce feu de joie pouvait être aussi parfois un signal de détresse lorsque les îles se prévenaient par ce signal de l’arrivée des Sarrasins et des Barbaresques.

Encore de nos jours, la messe suivie d’un repas champêtre reste une tradition vivace.

Devant la chapelle, se trouve un cimetière médiéval découvert récemment et au milieu l’Arca, où allaient mourir les hommes atteints de cette maladie contagieuse et mystérieuse, la Calcagnetta, dont nous parlons par ailleurs.

Récemment, la commune à fait construire près de la chapelle, avec le concours de la commaunauté des communes de la Costa Verde, un refuge où les randonneurs, les bergers, les chasseurs peuvent s’abriter.

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Site archéologique

Le Mont de Castelli Vecchju, 682 m d’altitude

Une station de la période du néolithique fut découverte aux alentours de 1920 sur la commune de San Ghjuvanni par un charbonnier qui avait trouvé une grande jarre et de nombreux éclats de verre sur le mont Castelli Vechju à 900 m d’altitude.

Sous la direction du professeur Ambroise Ambrosi, un déblaiement fut opéré. Entre 1m25 et 1m50 de profondeur, sur un espace de quinze mètres carrés environ, des traces de l’industrie humaine mélangées à des tas de charbon fossile provenant de plusieurs foyers apparurent.

Des instruments assez variés tels que des galets ovoïdes, une grande hache polie de serpentine, une pierre de schiste micacé, plusieurs morceaux de cristal de roche transparente à tranchant aigu, un grand galet de granit, deux morceaux d’obsidienne très noire, une pierre ponce, des fragments de cailloux roulés en schiste amphibolique, des tessons de poterie par centaines, en général vernis, colorés d’ocre rouge à l’intérieur, des anses comparables à celles de nos marmites, un certain nombre de bords de vases caliciformes et même quelques morceaux ornés de rainures et de dessins rares. Par contre les fouilles n’ont donné aucun objet en os, aucune pointe de flèche ni la plus petite trace de métal.

Il est évident que cette localité préhistorique ne résout pas le problème de l’homme en Corse mais les instruments découverts permettent d’avancer quelques hypothèses. Le stationnement prolongé sur une crête si exposée au vent et à la pluie est l’indice d’un climat assez doux, les hommes de San Ghjuvanni di Muriani n’étaient pas sédentaires ni sauvages, ils allaient de la mer à la montagne, ramassant sur le rivage cette pierre ponce que les vagues y avaient apporté.

L’emploi de l’ornementation, de la coloration sont l’indice d’un certain goût chez les ouvriers de cette époque. Ces hommes durent entretenir des relations avec l’extérieur au moins avec la Sardaigne, l’obsidienne ne pouvant leur parvenir que par la voie commerciale. Ils ne semblent pas avoir usé d’armes offensives ni même défensives contre les animaux. Toutefois, à ne considérer que les instruments même les plus finis, leur civilisation nous apparaît comme bien rudimentaire comme l’a écrit Modestov, elle correspond à la civilisation des Fondi di capasine néolithiques et des grottes naturelles.

Notes archéologiques. Société des Sciences – 425-436, XLIe année – 2ème trimestre.

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La grotte de « A Croce a u Zuccaru »

A 900 mètres d’altitude, vers le sud ouest et près de la « Croce a u Zuccaru », une grotte… Des fouilles ont livré des haches, des morceaux de cristal de roche, d’obsidienne, des pointes de quartz, de la céramique et une pierre de schiste micacée que l’on peut considérer comme une amulette.

A la partie la plus étroite de la grotte est creusée une rainure circulaire qui parait être faite par un lien d’attache. A la hauteur de cette rainure, sur les deux principaux côtés, deux petites cavités de deux centimètres. A l’autre extrémité sont gravés quelques signes…

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Toponymie

Les noms de lieux de la commune
de San Ghjuvanni di Muriani

• Da Curbaghja à Pasticciola
• Da l’Aghjola à Canapaghju
• Cala sole à Serricciola
• Valdigliolu à Balavaghju
• Panicale à Figuline
• Emerete à Curtaline
• Da Scaletta à Pughjulinu
• Da Calcinaghja à Nuvale
• Ursuliccia à Cipulinu
• Casavaglione à Canale
• Pusatoghja à Vittinella
• Circunacciu à Fuatella

Un foisonnement de mots… plus de 380 noms de lieux pour une superficie de mille hectares, des noms donnés à des montagnes, des forêts, des collines, des vallées, des cours d’eau, plus de cent sources, des abris, des constructions, les travaux des hommes, des végétaux, les habitations, les villages … qui ont bravé tous les obstacles, des conquêtes et des soumissions, de l’acculturation.

Les noms de lieux n’ont pas été choisis arbitrairement. Ils ont une signification déterminée appliquant à un site précis, se référant à des conditions géologiques, stratégiques ou économiques particulières.

La forme du terrain, sa configuration, l’aspect du site en un mot le relief, ont donné naissance à un très grand nombre d’appellations.

La plupart des noms de lieux évoquent :

• la montagne : Pinzalone, Teppa Bianca, Monte, Pughjulinu…
• les vallées : Vallicella, Valle à e conche, Valdigliolu…
• les ruisseaux ou les sources (l’eau) : Acquatella, Sanguinetu, Spiccia à l’Onde, Funtanella, Bolleru, Pozzi…
• la végétation (arbres, cultures ou autres plantes sauvages) : Leccia Tonda, Alzetu, Suarelle, Cucchi, Castagnone, Nuciulana, Pruniccie, Canapaghju, Emerete, Tassu, Erbiolu…
• le travail de l’homme et de la femme : Aghjola, Spinza Merone, Tribbiolu, Chjassu, Furnellu, Bucatoghju…
• les animaux domestiques ou sauvages : Tana à a Volpe, Anguilaghja, Campu di Lupu, Cavallacci, Curbaghja…
• les hommes qui ont vécu dans la commune : Funtana di Carlu, Chjosu di Bartuli, focu di To Sale…
• le soleil ou l’exposition : Cala Sole, Umbria, Ortu à Sulana, Penta Rossa…

Entre la transparence de l’eau, l’éclat du soleil, la lumière des étoiles, la toponymie : sciences des noms de lieux, revêt un caractère plus profond qu’une simple reconnaissance, ici, en Corse, où l’attachement particulier à la Terra Mater de la mythologie est un lien viscéral. Tous ces noms de lieux qu’il ne peut être question de relever en totalité ici, en relation avec l’histoire de la langue et de la communauté qui la parle, répondent certes à une nécessité de repérage, mais aussi et surtout sont les témoins les plus précieux de notre identité et de notre langue.

(Tiré de « La Corse mystérieuse »)

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Le sentier botanique

Ghjassu botanicu di San Ghjuvanni di Moriani

Cette balade vous permettra d’entreprendre un voyage à travers le temps et vous fera connaître les vestiges d’une Corse d’autrefois. Les hameaux de Fano et de Poggio vous dévoileront des villages typiques de l’architecture rurale de la Corse. A travers un subtil mariage entre les pierres et les arbres et avec beaucoup de discrétion vous pourrez y découvrir les maîtres de ces lieux : les oiseaux.

sentier-botanique-de-san-ghjuvanni-di-moriani-WEB

>>> Télécharger le guide

Le sentier ornithologique a vu le jour grâce au financement de la Communauté de Communes de la Costa Verde, la volonté et la passion de l’équipe municipale de San Giovanni et de l’association I Chjassi Muntagnoli. Mais aussi grâce aux conseils de Gilles FAGGIO, ornithologue au Conservatoire d’Espaces Naturels de Corse (www.cen-corse.org) et de Didier COLLIN (www.oiseau.net). Il a été complété par tous les photographes (Didier Collin, René Dumoulin, Marc Fasol, Julien Daubignard, Jules Fouarge, Robert Hendrick, Matthieu Canévet, Joseph Simard, Yann Ponthieu, Yann Cambon, Alain Chappuis, Jean Charennat, Philippe Pulce, Yvon Toupin et Patrick Muller) et les traducteurs (Jutta DUREN). Enfin, le projet initial s’est embelli grâce aux bandes sonores de François CHARRON. Que tous soient assurés de notre profonde gratitude. Nos remerciements vont également à l’Association « A Memoria » et plus particulièrement à Monsieur Gabriel CHAPUIS pour l’aide précieuse qui nous a été apportée.

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Sentiers de randonnée

La Costa Verde offre une multitude d’itinéraires de randonnée.

Voici pour vous amateurs de nature et de grands espaces une série des meilleurs sentiers qui vous feront découvrir notre microrégion :

Lineaire 1
Port de Taverna – Chapelle Santa Cristina – Muchjetu – Cervioni
À découvrir : Chapelle Santa Critstina, noiseraie.

Boucle 1
Cervioni – Chapelle de la Madonna (A Scupiccia) – Cigliu – Cotone – Favalellu – Couvent Saint François – Cervioni.
À découvrir : Cathédrale Saint Erasme, musée ethnographique, Chapelle de la Madonna, point de vue à Cigliu, hameau de Favalellu, Couvent Saint François.

Boucle 2
Cervioni – Chapelle de la Madonna (A Scupiccia) – Monte Castellu – Pointe de Felicio – Hameau de Poghju – Cervioni.
À découvrir : Chapelle de la Madonna, point de vue du Monte Castellu, bergerie de Felicio.

Boucle 3
Hameau de Penti – Hameau de Forci – Monte Negrine – Pointe de Felicio – Rivière du Buccatoghju – Eau Ferrugineuse (Acqua Acitosa) – Hameau de Penti.
À découvrir : Funtana di Mezu, hameau de Forci, bergerte de Felicio, eau ferrugineuse.

Boucle 4
Hameau de Cioti – Chapelle San Mamilianu – Hameau de Penti – Eau Ferrugineuse (Acqua Acitosa) – Hameau de Tribbiolu – Hameau de Cioti.
À découvrir : Chapelle San Mamilianu (Xème s.), gîte d’étape Luna Piena, eau ferrugineuse hameau de Tribbiolu, fromagerie de Cucchi.

Boucle 5
Eglise de Santu Niculaiu – Hameau de Castellana – Hameau de Ripiola – Hameau de Tribbiolu – Rivière du Buccatoghju : Pointe de Felfcio – Hameau de Poghju – Plaine de Poghju – Eglise de Santu Niculaiu.
À découvrir : Eglise de Santu Niculaiu, point de vue de la pointe de Felicio, église de Poghju, Chapelle San Pancraziu, site de la Pievanie de Santa Maria Poghju, pont génois.

Boucle 6
Hameau de Cioti – Chapelle San Mamilianu – Monte Olmelli – Monte a Tre Pievi – Col de Frate Mortu Monte Castellu – Hameau de Forci – Hameau de Penti – Chapelle San Mamilianu – Hameau de Cioti.
À découvrir : Chapelle San Mamilianu, Monte Olmelli (12 85 m), point de vue du Monte a Tre Pieve et du Monte Castellu, hameaux de Forci, Penti et Cioti.

Boucles 7 et 7 Bis
Hameau de Cioti – Chapelle San Mamilianu – Col de Cernitoghju – Monte Olmelli – Col de Foatella – Forêt de Galga Nera – Hameau de Cioti.
À découvrir : Forêt d’ifs et de buis de Galga Nera, point de vue de Foatella, chapelle San Mamilianu.

Boucle 8
Hameau de Serrale – Hameau de Cioti -Forêt de Galga Nera – Col de Foatella – Chapelle San Bartuli – Fiuminale – Hameau de Serrale.
À découvrir : Hameaux de Serrale, Cioti, et Fiuminale, forêt de Galga Nera, col de Foatella, Chapelle San Bartuli.

Boucle 9
RN 198 – Route de la Madonna – Pont du Petrignani – Eglise de Santa Lucia – Fontaine d’Acqua d’Orsu – Hameau de Serrale – Hameau de Cioti – Hameau de Tribbiolu – Hameau de Ripiola – Hameau de Castellana – Eglise de Santu Niculaiu – Moriani Plage.
À découvrir : Église de Santa Lucia, Fontaine d’Acqua d’Orsu, Hameaux de Serrale, Cioti, Tribbiolu, Ripiola, Castellana, église de Santu Niculaiu.

Boucle 10
Ponte a l’lnfernu – Hameau de Serrale – Fontaine d’Acqua d’Orsu – Plaine de Santa Lucia di Moriani – Pont de l’Enfer.
À découvrir : Ponte a l’lnfernu, fontaine d’Acqua d’Orsu.

Boucle 11
Hameau de Peru – Croce di u Niolu – Chapelle San Bartuli – Hameau de Fiuminale – Hameau de Velone – Hameau de Peru.
À découvrir : Chapelle San Bartuli, hameaux de Fiuminale et Velone, couvent de Peru.

Boucle 12
Poghju Mezzana – Pont du Petrignani – Poghju Mezzana
A découvrir : Hameau de Poghju.

Boucle 13
L’Avidanella – L’Avidanella Boucle en plaine de Santa Lucia di Moriani.

Boucle 14
Fiume d’Olmu – Hameau d’Isulaccia – Croix de Talasani – Fiume d’Olmu.
À découvrir : Eglise d’lsulaccia, chapelle San Petru, ruines de Prignani.

Boucle 15
Hameau de Casevecchje – Hameau de Peru – Col de Peru – Monte Tagliu – Croix de Casevecchje – Hameau de Peru Casevecchje.
À découvrir : Chapelle de Casevecchje, point de vue du Monte Tagliu.

Boucle 16
Hameau de Tagliu – Croix de Casevecchje – Hameau de Peru – Hameau de Talasani – Croix de Talasani – Eglise d’lsulaccia – Hameau de Tagliu
À découvrir : Ancien lavoir de Tagliu, église d’lsulaccia, couvent de Peru.

Boucle 17
Hameau de Talasani – Hameau de Vilone – Hameau de Carbunaccia – Hameau de Talasani.
À découvrir : Hameaux de Talasani, Vilone et Carbunaccia, église de Vilone, église Saint Jean.

Boucle 18
Hameau de Poghju- Chapelle San Pancraziu, site de la Pievanie de Santa Maria Poghju – Hameau de Poghju.
À découvrir : Chapelle San Pancraziu, site de la Pievanie de Santa Maria Poghju, église de Poghju.

Boucle 19
Cervioni – Santa Maria Poghju – Muchjétu – Cervioni
À découvrir : Églises de Poghju et de Muchjetu, Cathédrale Saint Erasme, Musée ethnographique de Cervioni.

Boucle 20
Pont du Petrignani – Poghju Mezzana – Hameau de Vilone – Hameau de Fiuminale – Ponte a l’lnfernu – Pont du Petrignani.
À découvrir. Hameau de Poghju, église Saint Jean, hameaux de Vilone et Fiuminale, ponte a l’lnfernu.


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